Comment réussir le Brevet Fédéral de Courtier-ière en immeubles (partie 2)

illustration réussir le brevet fédéral de courtier en immeubles

Voici la suite de notre article :

"Comment réussir le Brevet Fédéral de Courtier-ière en immeubles (partie 1).

Si vous ne l'avez pas encore lu, courez-y !
En cliquant ici 👉 Accéder à la première partie.


Table des matières

Les révisions avant les examens du Brevet fédéral

Personnellement, j’ai révisé mes cours au fur et à mesure de la formation. J’en ai profité pour rédiger un glossaire des termes de l’immobilier suisse comprenant plus de 400 définitions. Cinq mois avant les examens, j’avais déjà révisé une bonne fois tous les cours.

J’ai effectué le travail de projet pendant l’été. Ce n’est pas un choix. La Commission des examens vous donne exactement 8 semaines pour remettre votre travail de projet, à compter de la date où votre sujet a été confirmé. C’est court…

Chaque personne a son propre système pour étudier. Certains font des résumés et les étudient. D’autres font des fiches avec des questions et réponses.

D’autres impriment leurs cours (je ne le conseille pas) et ajoutent des notes sur les pages.

Personnellement, j’ai besoin de comprendre les termes utilisés dans les textes afin d’assimiler de façon stable et durable les informations. J’ai donc pris du temps et effectué beaucoup de recherches complémentaires afin de trouver les bonnes définitions pour tout le vocabulaire, pour le moins dense, de notre métier.

Après avoir révisé tous les cours, j’ai commencé à m’exercer avec les examens des années précédentes.

C’est à ce moment-là que je me suis rendu compte que s’exercer à comprendre les questions et formuler les réponses est une autre partie de la préparation.

Les cours sont faits selon les directives, certes, mais il faut encore découvrir comment les cours et les directives sont traduits sous forme de questions pour les examens.

Il y a également dans les examens des casus qui correspondent à des façons de travailler qui sont habituelles en Suisse alémanique mais pas en Suisse romande. Nous sommes sur un examen fédéral, nous sommes donc interrogés sur les lois fédérales et sur les façons de procéder les plus courantes.

Il est donc primordial de vous exercer avec les livres d’examen disponibles. Si cela vous intéresse, j’ai enregistré les livres d’examens du courtage des années 2015, 2016, 2017, 2019 et 2020.

Voici un aperçu du nombre de pages d’examens en blanc que j’ai remplies pour m’exercer :

Sur deux jours, il y a 11 heures d’examens écrits. Cela veut dire que vous allez lire et écrire à la main pendant ces 11 heures. Et votre écriture manuscrite doit être lisible. Cela aussi demande de s’y exercer.

Comprenez encore que les solutions du corrigé des examens sont des propositions de réponses correctes, et que d’autres réponses peuvent également être correctes. N’essayez pas d’apprendre les réponses par cœur, apprenez plutôt à faire des liens entre toutes vos matières pour vraiment bien comprendre.

Révisions avant les examens – le sprint final

J’ai quasiment arrêté de travailler 6 semaines avant les examens pour réviser. Je me suis exercé avec les examens des années précédentes en faisant l’examen d’une des quatre matières, puis en me corrigeant avec les solutions proposées.

Pour chaque partie que je ne maîtrisais pas, je me suis replongé dans mes cours pour approfondir le sujet. Je me suis rendu compte qu’il y avait également toute une série d’informations qui n’étaient pas disponibles dans mes cours, et pour lesquelles j’ai dû effectuer des recherches supplémentaires.

Le problème est que tant que vous n’avez pas sérieusement révisé, cela ne sert à rien de faire un examen en blanc, parce que vous ne pourrez pas répondre aux deux tiers des questions.

Comprenez-moi bien : vous devez absolument utiliser les examens qui sont mis à votre disposition afin de vous exercer, mais faites-le après avoir déjà bien révisé cette matière-là. Selon moi, tant que vous n’avez pas révisé au moins une fois complètement la matière, il ne sera pas efficace de tenter de remplir un examen en blanc.

Cependant, à 6 semaines des examens, je me suis rendu compte qu’en plus des gros cours à ma disposition, il me manquait encore des informations pour bien réussir. Ce n’était pas trop tard, mais si je m’en étais aperçu 3 mois plus tôt, mes révisions auraient été moins stressantes.

À partir de ce moment-là, j’ai révisé comme jamais je n’ai révisé pour des examens, et à une semaine des examens, j’arrivais à répondre à toutes les questions de tous les examens pour lesquels nous disposions des corrigés.

C’est-à-dire 3 séries complètes d’examens des années précédentes.

Mes conseils pour bien réviser toutes vos matières

Déterminez quelles sont les matières les plus importantes pour vous-même. Concentrez-vous en premier sur la matière qui est la plus difficile pour vous.

Cela sera différent pour chaque courtier ou courtière qui s’est inscrit aux examens. La matière la plus difficile pour vous sera peut-être la plus facile pour un autre. Peu importe.

Établissez votre planning avec toutes les matières et planifiez des cibles à atteindre.

Voici un exemple de planning de révision que j’ai utilisé, au format .xls :

Les examens de Brevet fédéral de Courtier en immeubles de 2021

Je vais maintenant vous relater mon expérience et mon propre vécu des examens. C’est spécifique à ma personne ainsi qu’à cette année 2021. Mais je pense qu’il est important que vous compreniez que le stress lié aux conditions d’examen joue également un rôle dans la réussite ou l’échec.

Premier jour, premier examen intitulé « Vente d’immeuble ». Cette branche est elle-même subdivisée en 3 sous-branches, à savoir :

  • financement,
  • fiscalité,
  • vente d’immeubles.

Nous connaissions le planning. La Commission des examens gère tout cela très bien.

Nous avions fait plusieurs examens en blanc en classe et, comme expliqué précédemment, je m’étais exercé à répondre aux questions des années précédentes en refaisant les examens plusieurs fois.

Le temps n’est jamais le problème. Ce que je veux dire est que, à chaque fois que je m’étais entraîné sur des sujets d’examens passés, il me semblait avoir toujours eu suffisamment de temps pour répondre à toutes les questions correctement.

Ce premier examen se déroulait sur 3 heures.

Après les deux premières heures, j’avais à peine répondu au premier tiers de l’examen.

J’ai bâclé les réponses des deux autres parties pour essayer de tout de même gratter des points… Il y a des pages complètes de l’examen auxquelles j’ai choisi de ne pas répondre, pour me concentrer sur d’autres, potentiellement plus « rémunératrices » en points.

Je suis sorti de là en état de choc. Et ce n’est pas un euphémisme. Je me suis pris un sacré uppercut.

Imaginez ma situation. Cela faisait un an et demi que je passais tous mes week-ends à réviser. J’avais tout arrêté pendant 6 semaines pour réviser à fond. Je m’étais exercé à répondre aux examens des années précédentes, encore et encore, tout cela pour ne pas avoir assez de temps afin de répondre aux questions le jour J !

Je ne sais pas si mon caractère ressort dans la manière dont j’écris, mais sachez que je ne suis pas un gamin timide ou introverti. Après l’examen, je suis donc immédiatement allé dire aux membres de la Commission que je n’ai pas eu assez de temps pour répondre aux questions.

Il m’a été rétorqué que je devais passer à la question suivante si j’avais de la peine à répondre à une question précise…

Mais je n’ai rencontré aucune difficulté à répondre aux questions. Aucune question ne m’a semblé difficile. C’est juste qu’il était matériellement impossible de répondre à toutes les questions en à peine 3 heures !

Nous étions toutes et tous dans le même cas. Personne n’avait eu assez de temps pour répondre à toutes les questions.

Sur les 11 personnes inscrites aux examens, plusieurs ont échoué à cause de cet examen-là.

Et cet échec est directement imputable au manque de temps imparti pour répondre à toutes les questions. Les questions étaient, selon moi, faciles, mais il y en avait un tel nombre que je n’ai pas pu répondre à toutes.

L’après-midi du même jour, nous avons eu l’examen de droit. Deux heures.

J’étais tellement sous le choc de ma mauvaise expérience du matin, j’étais tellement stressé de ne pas arriver à répondre à toutes les questions, que j’ai terminé cet examen en une heure et quart alors que nous avions 2 heures à notre disposition.

J’ai ensuite passé trois quarts d’heure à peaufiner mes réponses.

Si j’avais été le seul à avoir rencontré cette difficulté de temps pour cet examen de vente de biens immobiliers, ma foi, j’aurais pris sur moi. Mais là, étant donné que nous avons toutes et tous été dans la même situation, je peux dire qu’il y avait un problème.

Je ne sais pas si la Commission des examens a pris nos griefs en compte. Toujours est-il que j’ai eu suffisamment de points à cette matière. Mais si je n’avais pas eu la moyenne, j’aurais entrepris la procédure de recours.

Le deuxième jour, nous avons passé l’examen de commercialisation d’immeubles, qui est en fait un examen de marketing immobilier. C’est l’examen pour lequel nous étions tous le plus stressés, car cette matière est réputée être la plus difficile. Il s’agit également de la matière que nous avions le plus travaillée. Je pense que cette année nous avons tous réussi cette matière.

Le dernier examen écrit était celui de la connaissance de la construction. Avec les matières de droit, il s’agit des examens pour lesquels les matières et les directives sont les mêmes pour les courtiers, les gérants d’immeubles, les développeurs de projets immobiliers et les experts en estimation. Nous disposions donc de plus de 10 examens avec leurs corrigés pour ces deux matières-là.

Je ne suis pas en train de vous révéler un secret, les examens des années précédentes sont téléchargeables sur le site de la CSEEI.

Et cette année, plusieurs questions de cet examen m’ont semblé ambiguës : je n’arrivais pas à faire le lien de manière certaine avec une partie du cours ou avec une autre.

Il y a d’ailleurs certaines questions auxquelles j’ai répondu : « Si vous me posez la question suivante …, alors ma réponse est … En revanche, si votre question est plutôt …, alors ma réponse est … »

J’ai d’ailleurs utilisé plusieurs feuilles supplémentaires pour répondre à cet examen. Mais attention, ne pensez pas que c’est la bonne manière de faire. Je n’ai eu aucune note en dessous de 4 (sur 6), donc j’ai fait plus de choses correctes que de choses incorrectes…

Mais n’ayant pas accès à mes copies ni à leur correction, je ne sais pas ce qui a été compté juste et ce qui a été compté faux.

Ce qui est certain, c’est que vous devez connaître toutes vos matières à fond si vous voulez mettre toutes les chances de votre côté pour réussir.

Mes conseils concernant les examens écrits du Brevet fédéral

Les examens varient d’une année à l’autre. Ne pensez pas que vous aurez les mêmes difficultés de temps que j’ai eues.

Néanmoins, les conseils suivants devraient être efficaces :

  • Survolez toutes les pages. Commencez à répondre à toutes les questions faciles. Tant pis si vous ne faites pas l’examen dans l’ordre.
  • Répondez à toutes les questions qui vont vous rapporter le plus de points en prenant le moins de temps.
  • Ensuite, reprenez les questions auxquelles vous n’avez pas encore répondu et traitez-les. Passez encore les questions difficiles, ambiguës, etc.
  • Lorsque vous avez répondu à un maximum de questions, revenez maintenant sur les dernières questions en attente et répondez-y. Vous pouvez coller des Post-it sur ces pages-là pour les repérer.
  • S’il vous reste du temps, complétez les questions difficiles ou pour lesquelles vous pouvez apporter un détail qui vous semble utile.
  • Ne perdez pas de temps sur une question difficile. Revenez-y après avoir répondu à toutes les autres.

Les examens oraux du Brevet fédéral

Il nous a été dit à plusieurs reprises que les examens oraux servaient essentiellement à faire monter notre moyenne.

Il est fort probable que cette affirmation était vraie dans le passé, mais je peux vous assurer que, cette année, cette information s’est révélée passablement fausse.

J’exerce dans l’immobilier en Suisse depuis 2012. J’ai précédemment fait plusieurs carrières dans la vente et dans l’enseignement. Je ne suis pas parfait, mais je réussis en tant qu’entrepreneur, et la communication est à la base de toutes mes activités passées et présentes.

Pendant l’examen oral de ventes d’immeubles, j’ai vraiment eu l’impression de me retrouver dans une machine à laver en mode « programme aléatoire ». J’ai été secoué dans tous les sens.

Le casus que je devais défendre était tout à fait réaliste. Dans les grandes lignes : deux dirigeants d’une PME qui possède un immeuble de rendement de logements locatifs me demandent s’ils devraient le rénover et augmenter les loyers, le vendre en l’état ou le rénover et le vendre.

La première chose que je fais, c’est bien évidemment de poser des questions afin de mieux cerner les besoins de mes clients. Mais mes questions me sont retournées par un « Nous, on n’y connaît rien en immobilier, expliquez-nous toutes les possibilités… ».

Je vais vous donner un aperçu de comment cela s’est passé.

Moi : Avez-vous besoin de récupérer des liquidités rapidement ou préférez-vous conserver un rendement sur le long terme ?
Expert : Nous, on n’y connaît rien en immobilier, ce n’est pas notre métier, expliquez-nous les différentes possibilités.
Moi : Vous pourriez vendre en l’état ou transformer et vendre les appartements en PPE… (interruption par l’expert)
Expert : Mais si je vends en PPE, est-ce que je ne risque pas des problèmes avec les locataires ?
Moi : Selon la direction que vous voulez prendre, je vais analyser plus en détail les … (interruption par l’expert)
Expert : Mais si on vend en PPE est-ce que cela nous rapporterait plus ?
Moi : En règle générale, de mon observation, dans le marché actuel, la vente en PPE permet de dégager un plus grand bénéfice… (interruption par l’expert)
Expert : Mais on m’a dit qu’actuellement il est plus facile de vendre à un fonds de pension. Qu’en est-il ?
Moi : Tout dépend de ce que vous voulez faire : avez-vous besoin de liquidités rapidement ou préférez-vous favoriser un gain plus important mais plus lent… (interruption par l’expert)
Expert : Mais nous, on n’y connaît rien en immobilier. Expliquez-nous les différentes possibilités…
Etc.

Je n’exagère même pas. Je suis resté à l’aise, à l’écoute, je n’ai pas interrompu mes interlocuteurs, j’ai, selon moi, démontré des compétences sociales correctes.

Néanmoins, je suis sorti de là très mal à l’aise, avec la très désagréable sensation de ne pas avoir pu démontrer mon plein potentiel.

Le lendemain, dernier jour d’examen, j’ai présenté mon travail de projet. Ça, au moins, en ce qui me concerne, ça s’est bien passé. J’ai développé mon sujet en m’accompagnant d’une présentation PowerPoint très simple, avec très peu de textes et de belles illustrations. J’ai terminé en 15 minutes, ce qui a très fortement impressionné l’expert, qui m’a montré son chronomètre qui notait exactement 15:00:00.

J’ai été questionné sur plusieurs parties de mon travail sur l’estimation immobilière, avec des questions sensées qui m’ont permis de montrer mes compétences.

Donc cette partie-là, en ce qui me concerne, elle s’est bien passée.

Mais ce n’est pas le cas de tout le monde. Plusieurs personnes ont échoué à cause de notes inférieures à quatre pour leur travail de projet.

Les autres sources d’échec cette année étaient les examens oraux et l’examen « vente d’immeubles ».

Mes conseils pour réussir les examens oraux du Brevet fédéral

Soyez décontracté. Poli. Amical. Souriant. Proposez différentes solutions, différentes options, en fonction du casus qui vous est soumis. Il s’agit d’un jeu de rôle. Jouez votre rôle.

Vous êtes un professionnel expérimenté qui a déjà résolu tous les cas de figure. Assumez complètement ce rôle.

L’un des critères que les experts analysent, c’est votre expérience dans le métier. Pendant l’examen oral, lorsque c’est approprié, n’hésitez pas à glisser un truc du genre : « J’ai souvent résolu cette difficulté de la manière suivante… », ou encore : « À de nombreuses reprises, j’ai remporté la vente en proposant… ».

Ne soyez pas prétentieux, et encore moins hautain. Soyez sûr de vous mais empathique. Démontrez que vous êtes digne d’obtenir votre Brevet fédéral de Courtier en immeubles.

Exercez-vous à ce type de jeu de rôle. Organisez des jeux de rôle entre vous.

Prenez plusieurs dimanches pour vous exercer. Si vous n’êtes pas à l’aise, prenez des cours supplémentaires pour vous exercer jusqu’à ce que vous soyez à l’aise pour bien jouer votre rôle de professionnel avec beaucoup d’expérience.

Mon bulletin de notes

Voici le détail de mes résultats aux examens :

Dans un second temps, en questionnant mes collègues, je me suis rendu compte que nous étions trois ex aequo à nous partager la première place de la classe, ce qui nous a permis de recevoir un prix (et une prime) de la part de la Chambre suisse des diplômes de l’immobilier (ce qui relativise les choses).

En tout cas, j’ai tout donné. Je n’aurais pas pu faire plus.

Les taux de réussite aux examens du Brevet fédéral de courtier en immeubles 2021

Pour cette session 2020-2021, pour la Suisse romande, sur 18 personnes inscrites à la formation, 12 se sont inscrites aux examens un an plus tard.

Sur ces 12 personnes inscrites aux examens, 11 se sont présentées et 6 ont réussi.

Cela fait 55% de réussite sur base du nombre d’inscrits aux examens, et 33% de réussite sur base du nombre d’inscrits à la formation.

Il faut savoir que la barre est placée très haut. Je pense que mes collègues se sont également bien préparés, mais de toute évidence, pour plusieurs d’entre eux, l’effort nécessaire pour garantir la réussite n’avait pas été bien estimé.

C’est vraiment sur ce point que j’aimerais attirer votre attention : la quantité d’effort nécessaire pour réussir. Je suis personnellement persuadé que toute personne qui sait lire et écrire, et qui dispose de l’expérience pratique nécessaire dans le courtage, est totalement capable de réussir cet examen, à condition d’y passer le temps nécessaire pour bien assimiler toutes les notions.

Pour maximiser vos chances de réussite, lancez-vous corps et âme dans l’aventure.

  • Préparez votre vie de sorte à vous donner les moyens de votre politique. Si vous voulez avoir une chance de réussir, vous allez devoir vous y mettre à fond.
  • Assistez à tous les cours et retirez-en tout ce que vous voulez en retirer. Perfectionnez-vous. C’est votre vie, votre carrière.
  • Ayez un but personnel fort, auquel vous pouvez vous rattacher pour vous motiver.
  • Choisissez un travail de projet qui vous tient à cœur, dans lequel vous êtes déjà expert.
  • Révisez suffisamment à l’avance. Faites tous les examens des années précédentes et comblez vos lacunes.
  • Formez des groupes avec vos collègues pour faire des jeux de rôle et vous préparer pour les examens oraux.
  • Exercez-vous à présenter votre travail de projet jusqu’à ce que vous deveniez parfait.
  • Visez un 5 voire un 5.5 sur 6 dans toutes les matières.

Bonne chance !

En espérant que mes conseils puissent vous être utiles, je vous souhaite de rejoindre le petit club des Courtiers et Courtières en immeubles avec Brevet fédéral.

Vincent Grognard

Directeur général
Courtier avec Brevet Fédéral

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Vincent Grognard Directeur
immobilier
Education: Union Suisse des Professionnels de l'Immobilier - USPI

Vincent Grognard, Directeur Général de Concretise, passionné et Courtier diplomé du Brevet Fédéral de Courtier en immeuble, façonne l'immobilier suisse depuis 2012. Doté d'une expérience commerciale depuis les années 90, Vincent excelle dans l'accompagnement de ses clients et dans la vulgarisation du monde de l'immobilier suisse. 

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